(1824 - 1909) - illustrateur et historien d'art. Adressée au prince Emil von Sayn-Wittgenstein-Berleburg.
Paris, 14 mai 1847 - 4 pp. In-8, en allemand, enveloppe avec cachet de cire rouge. À propos d'une rencontre amoureuse.
Bin also deßwegen aus aller menschlichen Gesellschaft gekommen, und höre und sehe nichts mehr, als Stahlplatten und das Geklirr des Stichels auf den armen Dingern, die ich furchtbar malträtiere... Ich nahm mir eine Maitraisse - d[as] h[eißt] ich verliebte mich eines schönen Sonntagsnachmittags in ein noch schöneres Mädchen, die femme entretenue eines Professors der Mathematik, Physik und Astronomie, die neben meinem Zimmer ihren Herd aufgeschlagen und von Morgens bis Abends sur l'air dirallalla etc. Suis donc pour cette raison sorti de toute société humaine, et je n'entends et ne vois plus rien que les plaques d'acier et le cliquetis de la gouge sur les pauvres choses que je maltraite affreusement. Je me suis pris une maîtresse - c'est-à-dire, je suis tombé amoureux, un beau dimanche matin, d'une jeune fille plus belle encore, la femme entretenue d'un professeur de mathématiques, physique et astronomie, qui a installé son foyer près de ma chambre et chante du matin au soir sur l'air du tralala. Pfnor détaille ensuite les circonstances des débuts de leur relation.
Il illustra et publia aussi des ouvrages d'architecture et d'ornementation d'une grande exactitude et finesse d'exécution. Cet item est dans la catégorie "Collections\Lettres, vieux papiers\Autographes\Personnalités historiques".dencres" et est localisé dans ce pays: FR. Cet article peut être expédié au pays suivant: Monde entier.