17 mai 1900, à un confrère. Très intéressante lettre évoquant le milieu éditorial au début du vingtième siècle. Il est ravi de découvrir un poète : Je trouve vos poèmes tout à fait remarquables, et je vous recommande instamment de les publier dans quelques revues, la.
Je ne vous parle pas du. Parce que vous ne pourriez pas y passer avant un an. Est une pièce de superbe facture et d'idée hautaine.Je n'en sais rien. Je vous recommande cependant de l'envoyer à Valette. Il ne faut pas oublier que celui-ci ne peut rien recevoir en son propre nom : tous les manuscrits passent par le comité de lecture.
En post-scriptum, Merril ajoute : Paul Fort ne vous a pas répondu, sachant que je vous écrivais. Cet item est dans la catégorie "Collections\Lettres, vieux papiers\Autographes\Personnalités historiques". Le vendeur est "roman102003" et est localisé dans ce pays: FR.Cet article peut être expédié au pays suivant: France.