Autographe Lettre Signée

Lettre autographe signée Pierre PUVIS DE CHAVANNES (1824-1898) illustre peintre


Lettre autographe signée Pierre PUVIS DE CHAVANNES (1824-1898) illustre peintre
Lettre autographe signée Pierre PUVIS DE CHAVANNES (1824-1898) illustre peintre
Lettre autographe signée Pierre PUVIS DE CHAVANNES (1824-1898) illustre peintre
Lettre autographe signée Pierre PUVIS DE CHAVANNES (1824-1898) illustre peintre
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Lettre autographe signée Pierre PUVIS DE CHAVANNES (1824-1898) illustre peintre

Lettre autographe signée Pierre PUVIS DE CHAVANNES (1824-1898) illustre peintre    Lettre autographe signée Pierre PUVIS DE CHAVANNES (1824-1898) illustre peintre

(Précision: sur photos, si marques rouges ou noires elles sont non inscrites à l'origine, c'est un montage réalisé grâce à "PAINT" & "PICASSA" pour vous, tout blason ou photo ne sont à vendre sauf mention contraire dans descriptif, ils ont servi pour les recherches concernant le document). Le Site à déccouvrir, cliquez sur ce lien. + Départ: le 16.08.1896.

+ Lettre autographe signée L. Pierre Cécile Puvis de Chavannes, né à Lyon.

Considéré comme un précurseur du symbolisme. Il est une figure majeure de la peinture française de la seconde moitié du. Il a été l'un des fondateurs de la nouvelle Société nationale des beaux-arts. La famille Puvis de Chavannes est une famille d'ancienne bourgeoisie originaire de Bourgogne. Elle a conservé le nom de sa terre de Chavannes.

Pierre Puvis de Chavannes, né le. Est le fils de Marie Julien César Puvis, ingénieur des mines à Lyon, et de Marguerite Guyot, fille d'un négociant.

Il vécut avenue de Villiers. Auprès de la princesse roumaine Marie Cantacuzène. Qu'il rencontre en 1856 sans doute dans l'atelier du peintre Théodore Chassériau. Dont elle est l'amie.

Ils se marient, 42 ans plus tard, en 1898, quelques mois avant leurs morts respectives. Elle a une influence considérable sur lui, devenant sa compagne, sa collaboratrice, sa muse.

Après des études de rhétorique et de philosophie au lycée Henri-IV. Il fait un premier voyage en Italie.

Puis commence à étudier la peinture auprès d' Henry Scheffer. Il fait ensuite un second séjour en Italie et étudie brièvement auprès d' Eugène Delacroix. Puis dans l'atelier de Thomas Couture.

Il est marqué par les grandes peintures murales de Théodore Chassériau. Exécutées pour l'escalier de la Cour des comptes. Entre 1844 et 1848 (détruites en 1871).

Il ne trouve véritablement sa voie qu'à l'âge de 30 ans en réalisant le décor de la salle à manger de la maison de campagne de son frère (Les Quatre Saisons, Le Retour de l'enfant prodigue), en 1854. Un maître de la peinture allégorique. Il fut plusieurs fois refusé et quand enfin il exposa, il fut sévèrement critiqué.

Puis, en 1861, il remporta un premier succès avec Concordia (La Paix) et Bellum (La Guerre) exposé au Salon. La première fut achetée par l'État français. Le peintre, pour que les deux ouvres ne soient pas séparées, fit don de la seconde. La décoration murale du musée de Picardie. Deux ans plus tard, il présenta au Salon deux autres allégories, Le Travail et Le Repos, qu'il ne réussit pas à vendre mais Arthur-Stanislas Diet.

L'architecte du musée de Picardie. En cours de construction à Amiens. Il demanda alors l'attribution des toiles Concordia et Bellum au nouveau musée, afin qu'elles décorassent la grande galerie du premier étage.

De ce fait, le peintre fit don des deux toiles, Le Travail et Le Repos, qui décorèrent deux des murs du grand escalier. Le succès fut au rendez-vous, on commanda à Puvis une autre peinture allégorique : Ave Picardia Nutrix (« Salut, Picardie nourricière »), qui vint décorer le mur du palier de l'escalier d'honneur.

Et en 1882, l'artiste réalisa. (« Les Jeux pour la patrie »), qui prit place en face d' Ave Picardia Nutrix dans la cage du grand escalier, en 1888. Puvis de Chavannes compléta le décor du grand escalier et de la grande galerie du premier étage par d'autres toiles allégoriques : L'Etude, La Contemplation, La Fileuse, Le Moissonneur.. Ce décor exceptionnel sur le plan thématique et stylistique est représentatif du traitement novateur que Puvis de Chavannes apporta au genre allégorique.

Dont il devint à la fin du. Siècle le plus brillant représentant. Les décors muraux à Paris, à Lyon, Marseille, Poitiers et Boston. À son petit atelier de Pigalle. Il ajouta rapidement un plus grand, à Neuilly.

En 1883, il réalisa un portrait de sa compagne, Marie Cantacuzène, conservé au musée des Beaux-Arts de Lyon. Elle lui servit également de modèle pour la Salomé de la Décollation de Saint-Jean-Baptiste, pour Radegonde de l' hôtel de ville de Poitiers. Et pour la Sainte-Geneviève du Panthéon de Paris. Puvis de Chavannes réalisa de grands décors muraux : au palais Longchamp. À ceux-ci s'ajoutèrent trois ensembles exceptionnels, celui du Panthéon de Paris.

Où il traita de la vie de Sainte Geneviève. Chacun de ces décors donna lieu à des études, copies, répliques, cartons préparatoires qui popularisèrent l'ouvre de Puvis en particulier à l'étranger. Marseille, colonie grecque (1869), musée des Beaux-Arts de Marseille. Pro Patria Ludus (Les Jeux pour la patrie) (1882), Amiens. Le Bois sacré cher aux Arts et aux Muses (1884), escalier du musée des Beaux-Arts de Lyon. Un peintre reconnu par la jeune génération. Par cette ouvre décorative immense, mais aussi avec des tableaux de chevalet d'un symbolisme. Novateur, il conquiert l'admiration d'une génération entière, influençant non seulement les idéalistes tels qu' Odilon Redon. Jusqu'au jeune Pablo Picasso.

Dont nombre d'ouvres de jeunesse lui sont redevables. Président de la Société nationale des beaux-arts. En 1890, il refonde avec Jean-Louis-Ernest Meissonier. La Société nationale des beaux-arts. Dont il est successivement vice-président et président, à la suite de la mort de Jean-Louis-Ernest Meissonier.

Précurseur dans les arts, y compris pour les artistes féminines, il est à l'initiative de l'achat par le gouvernement français. Il est nommé chevalier de la Légion d'honneur.

En 1867, promu officier en 1877, puis commandeur en 1889. Il obtint la médaille d'honneur en 1882.

Trois mois après le décès de sa femme Marie Cantacuzène. À son domicile dans le.

Au 89, avenue de Villiers. Il est enterré à sa mort au cimetière ancien de Neuilly-sur-Seine. Puis transféré en 2018 au cimetière de Champagnat, en Saône-et-Loire, berceau de la famille Puvis de Chavannes. Sa chapelle frappée d'abandon en 2000 fut sauvée par l'intervention de l'historien Frédéric de Berthier de Grandry, habitant alors à Neuilly-sur-Seine. Monument à Puvis de Chavannes (1924), Paris.

Plaque commémorative apposée au 89, avenue de Villiers. Critique d'art et conservateur de musée, directeur du journal "L'Artiste". Jean Baptiste Marie Alboize est né le. Il monte à Paris après des études en droit. Vers la fin des années 1870, il devient l'ami de Joséphin Peladan.

Puis entre comme critique à la revue L'Artiste. Dont il rachète les parts à Arsène Houssaye. En 1881 ; Alboize va diriger la revue pendant plus de vingt ans. À partir de 1898, la revue connaît des difficultés, cesse d'être mensuelle, son nombre de lecteurs s'effondre. Il demeure pendant toutes ces années correspondant de la Revue méridionale et ouvra à valoriser le travail du peintre Jacques Gamelin.

En octobre 1892, il lance avec Léonce Bénédite. Une publication trimestrielle, L'Album des peintres-lithographes, en lien avec la Société des artistes lithographes français.

Le 3 février 1899, il est nommé chevalier de la Légion d'honneur. Avec pour parrain le compositeur Paul Véronge de la Nux. Rentrée 1901, il est nommé conservateur en chef du château de Fontainebleau. Il semble délaisser la revue L'Artiste qui cesse de paraître en 1902 et 1903.

Le 4 mars 1904, il meurt subitement sur la route qui relie la gare de Fontainebleau et le château. L'Artiste fait paraître sa nécrologie dans un ultime numéro, daté décembre 1904. Et durant ce même mois, a lieu à l' hôtel Drouot. La dispersion de ses collections. Chevalier de la Légion d'honneur.

+ PUVIS DE CHAVANNES déclare à ALBOIZE Conservateur de mussée à Paris qu'il est partisan pour les entrées payantes dans les musées excepté les dimanches et jours fériés... N'hésitant pas à dire dans ce pli qu'à cette époque où ils étaient encore gratuit permettaient à certains vagabonds de servir de chauffoir et de dortoirs (= habitats); ainsi à cette époque. "Qu'en ce qui concerne le Louvre, le paiement des entrées, si minime qu'il fût, aurait l'avantage de débarrasser nos galeries du public honteux et sale, de traînards et de fainéants qui l'encombrent régulièrement pendant l'hiver", pour en conclure que "ce serait une bonne mesure de police en même temps qu'une bonne mesure financière" lien. + PUVIS DE CHAVANNES Pierre c.

Onsidéré comme un précurseur du. Il a été l'un des fondateurs de la nouvelle. Jeunes Filles au bord de la mer. Paris, Musée d'Orsay, 1879. Qui se développe dans les.

Et qui atteint son apogée dans les. Il apparaît d'abord en.

+ 4 pages écrites & signature de P. + 1 lettre & sa correspondance. + Voici quelques liens Historiques/généalogiques pour situer cette lettre, personnage, lieux... Recopiez les liens ci-dessous dans google.

Sur Photo avec Jean ALBOIZE. Seul le document est à vendre (lettre, document, monnaie), les images ont parfois des explications avec: portraits, blasons, cartes, photos, châteaux...

Etc ils ne sont pas à vendre, ils servent d'argumentation à l'objet. Cet item est dans la catégorie "Collections\Lettres, vieux papiers\Autographes\Personnalités historiques". Le vendeur est "29collections" et est localisé dans ce pays: FR. Cet article peut être expédié au pays suivant: Monde entier.

  1. Nombre de pages: 4
  2. Epoque: Second Empire
  3. Objet modifié: Non
  4. Type: Autographe, Dédicace
  5. Sous-type: Autographe sur papier
  6. Pays de fabrication: France
  7. Région: Europe
  8. Thème: Art


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