Lettre autographe signée à un « cher ministre ami ». À l'occasion d'une rencontre fortuite, Jean Bruhnes, redit à son correspondant sa « très franche, solide, fidèle amitié ». Il évoque le soutien de son ami en 1928 lorsqu'il avait cru pouvoir « constituer pour un être aimé un bonheur définitif et m'en assurer pour moimême l'extrême joie!
J'ai beaucoup souffert de ce beau rêve évanoui et que durant toute une année je me suis efforcé avec une tendance acharnée de traduire en une réalité ».