Autographe Lettre Signée

COLL. HENRY DAVRAY LETTRE AUTOGRAPHE SIGNEE STUART MERRILL (Poète écrivain) 1896


COLL. HENRY DAVRAY LETTRE AUTOGRAPHE SIGNEE STUART MERRILL (Poète écrivain) 1896
COLL. HENRY DAVRAY LETTRE AUTOGRAPHE SIGNEE STUART MERRILL (Poète écrivain) 1896
COLL. HENRY DAVRAY LETTRE AUTOGRAPHE SIGNEE STUART MERRILL (Poète écrivain) 1896
COLL. HENRY DAVRAY LETTRE AUTOGRAPHE SIGNEE STUART MERRILL (Poète écrivain) 1896
COLL. HENRY DAVRAY LETTRE AUTOGRAPHE SIGNEE STUART MERRILL (Poète écrivain) 1896

COLL. HENRY DAVRAY LETTRE AUTOGRAPHE SIGNEE STUART MERRILL (Poète écrivain) 1896   COLL. HENRY DAVRAY LETTRE AUTOGRAPHE SIGNEE STUART MERRILL (Poète écrivain) 1896
Provenant des anciennes archives ou collections personnelles de Henry D. On trouvera, vendues à l'unité, de nombreuses lettres de Stuart MERRILL en particulier, mais également d'autres écrivains français ou de langue anglaise du temps, éditeurs, directeurs de revues littéraires, &c... De son vrai nom Henry Durand, il est également connu sous les noms de plumes de.

Henry Davray est, au début du XXe siècle, un éminent vulgarisateur de la littérature de langue anglaise en traduisant et en faisant découvrir les ouvres d'Oscar Wilde, Rudyard Kipling, Frank Harris, H. Wells, Joseph Conrad ou George Meredith. Il crée plusieurs revues dont la plus connue est l'anglo-française Review. Après la Première Guerre mondiale, son action en faveur de la diffusion de la prose anglaise lui vaut de devenir le Français le plus célèbre dans les milieux littéraires de Grande-Bretagne où il se fixe en 1940 après avoir été fait commandeur de l'Ordre de l'Empire britannique par le roi George VI.

Davray est responsable à partir de 1896 de la rubrique « Lettres anglaises » du Mercure de France. Premier traducteur de De Profondis et de La Ballade de la geôle de Reading d'Oscar Wilde en 1898, il a aussi traduit en français une grande partie de l'ouvre de H. (dont le célèbre La Guerre des Mondes). Critique littéraire, journaliste, traducteur, écrivain.

Henry Durand-Davray, né le 14 août 1873 à Gennevilliers, et mort le 21 janvier 1944 à Londres. Est un traducteur et critique littéraire français. Spécialiste de la littérature anglaise au prestigieux journal parisien le Mercure de France, il traduit en français les ouvres de H. Wells, Rudyard Kipling, Oscar Wilde et Yeats. Durant la première Guerre mondiale, il est correspondant de guerre et délégué officiel du gouvernement français.

Il est le beau frère du peintre Georges Dola. Né d'un père vosgien, Jean-Lucien-Henry Durand, jardinier, et d'une mère occitane. Femme-de-chambre puis cuisinière, il développe dès sa jeunesse une aversion profonde pour l'Allemagne et une attirance pour l'Angleterre où il passe la plupart de ses vacances. Il entreprend des études d'anglais à la Sorbonne, mais ne parvient pas à y obtenir un diplôme en raison de ses absences prolongées.

Il acquiert néanmoins une vaste culture qui lui permet de s'insérer et d'évoluer dans les milieux artistiques, politiques et littéraires aussi bien à Londres qu'à Paris. Il fait la connaissance de nombreux écrivains, notamment ceux appartenant au cercle de H. Wells : Arnold Bennett et Joseph Conrad. En 1917, il est l'un des fondateurs de la Société anglo-française (Anglo-French Society) dont le but est de promouvoir l'Entente cordiale : ses amis le surnomment alors affectueusement : « le tunnel sous la Manche ». Lorsqu'après avoir été libéré de prison en 1897, Oscar Wilde séjourne pour quelque temps à Naples, Henry-D.

Davray fait sa connaissance, ayant obtenu son adresse, la villa Giudice au Pausilippe, grâce à Ernest Dowson, un ami proche de l'écrivain. Les deux hommes se rencontrent à nouveau par hasard alors que, vers la fin de sa vie, Oscar Wilde se trouve dans le besoin. Ayant dû annuler un rendez-vous pour le recevoir, Wilde demande de l'argent à Davray et lui offre en échange un exemplaire dédicacé de La Duchesse de Malfi de John Webster. Poète de nationalité américaine, Stuart Merrill passe son enfance à Paris, où son père appartient à l'ambassade des États-Unis.

Au lycée Condorcet, il est le condisciple de quelques-uns des futurs symbolistes, René Ghil, André Fontainas et Éphraïm Mikhaël entre autres. La langue française le séduit et il acquiert une très riche culture poétique. Là-bas, il se fait le porte-parole de la poésie française, en particulier du Parnasse dont il subit fortement l'influence. Dans le même temps, il s'initie à la prosodie de la langue anglaise.

Il publie son premier recueil de vers, Les Gammes (1887), au moment où. Se constitue autour de Mallarmé. La référence à la musique est évidente et, comme la plupart des autres symbolistes, il cherche à utiliser les mots comme des notes sur une portée, comme des sons élémentaires qui s'organiseraient en un chant.

Alors que d'autres, Ghil par exemple, trouvent des procédés inédits, telle l'instrumentation verbale, pour atteindre cette musicalité, Stuart Merrill emprunte à la poésie anglo-saxonne le procédé de l'allitération ; il l'applique systématiquement et montre assez rapidement les limites d'une telle poétique. Fastes (1891), Petits Poèmes d'automne (1895) portent encore la marque de ce travail prosodique ; cependant Stuart Merrill s'affranchit peu à peu de toute influence : Les Quatre Saisons (1900) sont une évocation déjà beaucoup plus personnelle et originale. Définitivement fixé en France depuis 1890, Merrill écrit de nombreux articles sur les symbolistes. Des deux côtés de l'Atlantique, et contribue ainsi à les faire apprécier du public. Mais, grand admirateur du poète américain Walt Whitman, il en vient à une poésie beaucoup plus didactique. Une voix dans la foule (1909) illustre son amour de l'humanité et son idéal démocratique. Le langage se met au service de sa conviction et il gagne une force étrangère à ses premiers vers.

Le manifeste du symbolisme, publié par Jean Moréas le 18 septembre 1886, paraît alors que Stuart Merrill séjourne aux États-Unis, qu'il avait regagnés après la mort de son père. C'est de là qu'il correspond avec ses amis français et envoie ses premiers poèmes pour publication.

«Passionné de justice sociale, mêlé au mouvement marxiste, on le vit alors dans les rues de New York vendre les feuilles où les "quatre cents" de la haute société étaient dénoncés... Revenu définitivement en France, à l'apogée du symbolisme, il publie Les Fastes en 1891 et Les Petits Poèmes d'automne en 1895, ouvre un salon fréquenté par les symbolistes à son domicile quai de Bourbon à Paris, soutient Oscar Wilde lors de son procès, et s'enthousiasme pour.

La cause arménienne et la défense du capitaine Dreyfus. Collaborateur des revues La Plume et L'Ermitage, il lie son écriture poétique à un engagement.

Politique placé sous le signe de l'anarchisme. «Ce qui fait la force de la théorie symboliste c'est précisément son anarchie. Elle ne demande au poète que d'être significatif, c'est-à-dire individuel, et de se révéler, pensée et émotion, par des images aussi générales que possible. Oui le symbolisme est l'anarchisme en littérature; au lieu de se recroqueviller entre deux dates, comme M. Zola, ou de se fourrer tout vivant dans une boîte à momies, comme M.

Leconte de Lisle, il promène sa glorieuse fantaisie par les terres et les âges, et se soucie peu que les richesses qu'il ramasse viennent de Golconde ou d'Ophir. L'Ermitage, août 1893, p.

On comprend dès lors son attachement au vers libéré et au vers libre, dégagés des contraintes de la métrique. Pour autant, au-delà de la structure, c'est bien l'inspiration qui est au cour de sa démarche poétique: «Le talent seul du poète justifie ou condamne sa métrique. Une Lettre autographe signée de Stuart MERRILL. Datée du 28 Octobre 1896. Demande à Henry Davray de raccourcir un texte qu'il va publier dans la revue. La Plume, consacré à William Morris qui vient de mourir. William Morris, né le 24 mars 1834 à Walthamstow, Essex et mort le 3 octobre 1896 à Hammersmith, Londres, est un fabricant, designer textile, imprimeur, écrivain, poète, conférencier, peintre, dessinateur et architecte britannique, célèbre à la fois pour ses ouvres littéraires, son engagement politique libertaire, son travail d'édition et ses créations dans le domaine des arts décoratifs, en tant que membre de la Confrérie préraphaélite, qui comptent parmi les sources du mouvement Arts & Crafts qui eut, dans ce domaine, l'une des influences les plus importantes en Grande-Bretagne au XXe siècle. Mon cher araméen à la barbe fleurie.

Oui c'est encore ce vieux raseur de Yankee qui vous adresse. Voici, je reçois tant d'adhésions au numéro sur Morris que je suis obligé de demander à chacun de faire plutôt court que long Je crois que vous avez demandé une page entière de La Plume, petit texte. Mais bien entendu que ce ne soit pas au détriment de ce que vous avez à dire, et faites deux pages s'il le faut. J'ai dit et je referme mon rasoir; Tout votre, Stuart Merrill.

Belle lettre dans laquelle on peut noter le degré d'intimité. Très grand liant les deux hommes de lettres. 1 feuillet de beau papier vergé blanc, plié en son centre formant 4pp. (plié: environ 17,8x11,3cm).

Très Bon état général, très propre. Cet item est dans la catégorie "Collections\Lettres, vieux papiers\Autographes\Personnalités historiques".

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  1. Epoque: 1896
  2. Type: Autographe, Dédicace
  3. Sous-type: Lettre en Français
  4. Pays de fabrication: France
  5. Thème: Littérature

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