D'une symphonie admirable, ébloui que j'étais par un petit soulier qui contenait un pied [. Je suis donc contraint pour écouter un chant ou bien une parole de maintenir mes yeux fermés. Cela fait que je me déteste, moi-même dans ces instants car j'ai une peur bleue que le public puisse supposer que je dors. J'ai ainsi étonné bien des contemporains.
] bien elles ne peuvent rien! Toujours sous quelques vêtements que ce soit s'il y a de beaux pleins, des angles purs, des pentes douces, des couples vives toutes faites d'attraits sous un vêtement quel qu'il soit c'est le rythme immortel qui vibre et toute la beauté, et là. Ah, s'il était possible aux créations de mode de toucher aux structures humaines. Alors le désastre pourrait venir. Au fond, c'est [le] dessous, c'est le porteur du costume qui compte.Le vêtement de charpentier, du maçon, du paysan écrit bien l'âme de leurs gestes. Pour la grande Aphrodite du Louvre, que tout exprès, je mets près [.], c'est l'infini qui est le vêtement de ses structures intérieures. Elle a vétu, elle a soustrait son extérieur.
Et au-delà, elle a su appeler à elle tous l'équilibre universel. Celui du moins que nos [sens courts] d'humains peut appeler l'universel. Elle est la sour, la femme ou la sour du charpentier, du maçon, du paysan, cette universelle Aphrodite de notre musée du Louvre. Elle est comme eux, toute vêtue de son travail qui est le grand [. Toutes les femmes bien venues sont les filles de l'Aphrodite.
Elles arriment le destin de toutes les modes du monde. De leurs beaux tournants purs, de leurs beaux angles fiers, elles arriment tous leurs voiles. Le grand serpent Acropolien de la déesse de sagesse, ou tout le nid des serpents de l'amour ondulant sous toutes les robes. Laissons donc là les inquiétudes : Modes amples ou modes maigres - taille au-dessus ou au-dessous de l'ombilic, rien de tout cela ne m'émeut. Si la structure est noble et vive de la porteuse ou du porteur, tout est sauvé.
C'est cela qui transfigure. C'est l'harmonie du constructeur inlassable de l'être humain qui fait que sous toutes les modes l'ange se voit en quelques êtres, et que le diable ne perd rien en quelques autres. PS, bien entendu, j'aime surtout que chacun crée le costume qui lui est le mieux adapté.
Je suis contre la mode uniforme. Écriture lisible et encre bien conservée.