Recueil factice de 4 ÉDITIONS ORIGINALES d'oeuvres dramatiques d'Albert Glatigny. L'EXEMPLAIRE DE FRANCISQUE SARCEY, avec un ENVOI AUTOGRAPHE SIGNÉ à l'une des pièces et une LETTRE AUTOGRAPHE SIGNÉE reliée en début de volume. Cher Monsieur Sarcey, Je voudrais vous pouvoir aller remercier moi-même mais il n'y faut pas songer de longtemps. La chambre ne veut pas me lâcher. Je suis ainsi depuis vingt sept mois, mais cela va mieux heureusement.
La mélancolie n'a rien pu sur moi pendant ces deux années d'atroces souffrances, et ce n'est pas maintenant que je lui ouvrirai la porte. L'accueil que la presse a fait à ma pauvre petite pièce m'a ranimé. Je ne me plaindrais même pas de ce que j'ai souffert pour l'amour de la Muse, si j'avais échoué l'autre jour. Pensez donc au bien que m'a fait une si bonne récompense. J'en suis franchement heureux et vous serre les mains avec joie et reconnaissance.
Albert Glatigny 48 rue neuve les Petits Champs. Glatigny évoque dès 1861 le critique Francisque Sarcey, qu'il décrit facétieusement dans le poème. " comme une réincarnation d'Edmond About ; objet de ses quolibets ". Vous ressemblez à Sarcey en écrivant Pradole nom de Pradeau. , Sarcey n'en demeurera pas moins pour Glatigny un soutien et un correspondant.
Paris : Alphonse Lemerre, 1870 [2] ff. Cette comédie fut représentée pour la première fois à Vichy le 25 juillet 1864, puis au théâtre Cluny. La soprane Delphine Ugalde assiste à la première, ce qui flatte le dramaturge. Ainsi, lorsqu'au cours d'une représentation la pièce est curieusement sifflée pour immoralité, Glatigny prend l'échec avec équanimité : on dort tranquillement après avoir vu tomber une comédie de soi, et l'on de prend pas du tout les merles en haine. Paris : Alphonse Lemerre, 1870 (achevé d'imprimer à la date de 1869) 31 pp.
La pièce, jouée à l'Odéon, connut un grand succès. Paris : Alphonse Lemerre, 1872 19 pp. A Francisque Sarcey / son reconnaissant / Albert Glatigny.; correction autographe à la date de la première (25 au lieu de 8 mai) Prologue pour la réouverture des Folies-Marigny, sur une musique composée par Delphine Ugalde, dont les compliments sur. Paris : Alphonse Lemerre, 1873 [2] ff. Né d'une esquisse parue dans le.
Est refusé à l'Odéon, et n'est créée qu'après la mort du dramaturge au théâtre Corneille, le 6 octobre 1876. Glatigny fera également de Brizacier, comédien arraché au théâtre qui dépérit loin de la scène, le héros d'un poème. Le Testament de l'illustre Brizacier. Les héros ignorés, chers à mon coeur, n'ont jamais connu l'envie.Amais une plainte n'est tombée de leur bouche. Pourquoi se plaidraient-ils d'ailleurs.
Ils sont heureux, leur âme déborde de joies ineffables, des ciels étoilés se déroulent sur leur front. Vous vous appitoyez sur leur sort, mais ne voyez-vous pas que c'est à vous qu'ils ont envie de faire l'aumône? 2, préface à Jules Claretie. Demi-maroquin violine à coins, tête dorée, signet, premiers plats de couverture conservés. Libris héraldique moderne « JM » au contreplat supérieur.Quelques notes bibliographiques manuscrites au crayon au dos des plats de couverture. (Lillebonne : 21 mai 1839 - Sèvres : 16 avril 1873).